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Les Cévennes, grandeur nature


Territoire sauvage et secret, les Cévennes se dressent comme un refuge de liberté. Ici, les femmes et les hommes se mêlent aux montagnes, façonnant un paysage unique, empreint de force et de poésie. Laissez-vous envahir par la beauté brute des Grands Causses et des gorges, les innombrables châtaigneraies, les bâtisses de pierre sèche et de lauze, les savoir-faire qui relient le passé au présent. Marchez, rêvez, écoutez : vous êtes dans les Cévennes, grandeur nature.

Dans les méandres des routes cévenoles, les paysages déploient leur diversité de reliefs et de couleurs. Mais au-delà du décor majestueux, ce sont aussi des visages et des histoires qui se dévoilent sous nos yeux. Durant trois jours, nous avons rencontré celles et ceux qui insufflent vie à ce territoire, qui donnent à cette région toute sa chaleur et tout son caractère.

→ Jour 1 – Les Cévennes lozériennes

La vallée de l’abeille noire à Pont-de-Montvert

Ce jour de septembre, Yves Elie nous a donné rendez-vous à Pont-de-Montvert, sur les hauteurs des Cévennes, là où il a créé La Vallée de l’abeille noire, un sanctuaire pour cet insecte millénaire et menacé : « Il n’existe plus que très peu de colonies d’abeilles noires vivant de manière pérenne à l’état sauvage, explique Yves Elie à notre arrivée, et pourtant, dans cette vallée, presque chaque arbre creux abritait un essaim. » Devant nous se tient un apiculteur engagé, à la fois poète et penseur.

L’histoire débute dans les années 2000, lorsque Yves retourne dans ses Cévennes natales après avoir réalisé un documentaire sur la mortalité des abeilles due aux pesticides. Ce retour marque pour lui le début d’une fascination pour l’abeille noire et l’apiculture traditionnelle encore présente dans la région. Il parcourt les montagnes, explorant les fameux ruchers-troncs de la Lozère, des ruches creusées dans des troncs de châtaigniers et disposées en amphithéâtres naturels, au cœur de la nature. « À la domestication, j’oppose le concept de domiciliation. Conserver les abeilles locales, c’est aussi préserver l’ensemble des pratiques et des savoir-faire ancestraux qui ont permis pendant des millénaires la cohabitation de l’homme avec l’abeille. », affirme Yves.

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Durant plusieurs heures, d’une voix calme et posée, Yves évoque l’abeille noire avec la tendresse que l’on réserve aux êtres chers : « Ce sont des abeilles frugales, réactives, qui survivent là où d’autres peineraient, dit-il, elles nous montrent que l’on peut faire beaucoup avec peu, dans l’écoute et le respect de leur rythme. » La sauvegarde de cette abeille n’est pas un combat isolé pour l’apiculteur, mais une quête qui vise à restaurer notre lien intime au monde vivant contre la standardisation. À travers son discours, nous sommes témoins d’une forme de sagesse, celle qui consiste à donner sans exiger, à préserver sans interférer : « Ma vision de l’apiculture repose sur la sobriété, avec peu de colonies, sans forcer la nature. Contrairement à l’apiculture intensive qui fatigue les abeilles en déplaçant les ruches de cultures en cultures. », explique-t-il. Une ode à la résilience qui permet aux abeilles de produire un miel de qualité, reflet de la diversité florale de la région. Ainsi, chaque miel de l’Arbre aux abeilles, l’association fondée par Yves et sa compagne Chantal, est un éventail d’arômes liés à un lieu, à une altitude, à un terrain.

En repartant de cette rencontre, une évidence se dessine : Dans un monde où le vivant s’efface trop souvent sous le poids de l’indifférence, Yves nous rappelle qu’il est encore possible de renouer avec une forme d’harmonie, à condition de savoir écouter.

L’art du jean selon Tuffery à Florac

Au cœur des Cévennes, à Florac, un souffle ancien imprègne encore les toiles denim façonnées par les mains de la maison Tuffery depuis 1892. Célestin Tuffery, jeune tailleur visionnaire, créait alors pour les ouvriers un vêtement robuste, qui allait pourtant devenir bien plus qu’un simple pantalon de travail. Aujourd’hui, Julien et Myriam Tuffery, héritiers de ce savoir-faire centenaire, tiennent l’atelier comme un trésor, à la fois authentique et innovant. Main dans la main avec leur équipe, ils font vivre l’esprit de l’Atelier Tuffery, là où chaque jean porte en lui une part d’histoire et de liberté.

« Vous êtes dans l’atelier du plus ancien fabricant de jeans français. » Des mots qui résonnent avec un sens profond quand Julien nous les adresse en guise de bienvenue. Tout commence en 1892 à Florac, lorsque Célestin Tuffery, jeune maître-tailleur de dix-sept ans, décide de répondre à une nécessité pratique : les ouvriers du chemin de fer ont besoin de vêtements résistants, capables de supporter les rudes conditions de travail. Célestin se met à l’œuvre et conçoit un pantalon robuste en utilisant une toile de Nîmes — que l’on appellera par la suite « denim » — une étoffe solide et teintée d’indigo. C’est ainsi que naît le tout premier jean français, un vêtement de travail pensé pour durer.

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Au fil des décennies, la production s’adapte, évolue. Dans les années 1930, Alphonse, fils de Célestin, aperçoit le potentiel de ce vêtement au-delà des chantiers et des ateliers, ouvrant la voie à la démocratisation du vêtement de travail : « Alphonse envisageait déjà que tout le monde puisse porter ce jean, qu’il devienne un habit du quotidien. », explique Julien. Après la guerre, l’Atelier Tuffery connaît une période d’effervescence. Les années 1960 voient le jean devenir un symbole de liberté, un accessoire de mode qui transcende les classes sociales. Les fils d’Alphonse, Jean-Jacques, Jean-Pierre et Norbert, reprennent le flambeau et font de l’atelier une véritable manufacture : « Mon père et mes oncles ont contribué à faire du jean un produit que chacun voulait posséder. », confie Julien avec fierté. À son apogée, l’atelier emploie cinquante couturiers et produit cinq cents jeans par jour, s’affirmant comme le pilier de la production française de denim.

Mais les années 1980 marquent le début d’une période sombre pour l’industrie textile en France. La concurrence étrangère pousse les marques à délocaliser leur production, les ateliers ferment les uns après les autres : « L’atelier Tuffery est passé de soixante employés à trois, explique Julien, mon père et mes oncles ont choisi de maintenir le savoir-faire coûte que coûte. Ils savaient que leur travail avait une valeur, une âme, même s’ils pensaient être la dernière génération des Tuffery à faire du jean. » C’est en 2014 que Julien reprend officiellement les rênes de l’atelier, bien décidé à redonner au jean sa place dans le patrimoine français. Avec son épouse Myriam, il modernise la production tout en restant fidèle aux techniques de ceux qui l’ont précédé : « On a entrepris un chantier colossal pour sauver l’atelier, pour lui offrir un avenir. Nous voulons que chaque pièce raconte une histoire, qu’elle rappelle ce territoire, cette authenticité. », explique Julien.

Nous arpentons les lieux, plongés dans ce dédale de machines et de toiles, de patrons et d’échantillons de denim soigneusement sélectionnés. À chaque étape, Julien nous révèle les secrets de cette manufacture où la découpe des jeans se fait encore à la main : « Chaque jean est une promesse de qualité. On le fabrique pour qu’il traverse le temps. » Il insiste sur l’importance de l’artisanat local, du choix minutieux des matières ou encore du bien-être dans l’entreprise. « On est plus qu’un atelier. On est la mémoire d’une époque, d’un savoir-faire que l’on souhaite transmettre et voir vivre encore cent ans. », conclura Julien avec un sourire empli de fierté.

  • Atelier Tuffery – Zone d’activité de St Julien du Gourg, 48400 Florac-Trois-Rivières

→ Jour 2 – Les Cévennes ardéchoises

Le terroir en bouteille à Planzolles

À Planzolles, la FRAP, Fabrique Rurale d’Alcool à Partager est une distillerie artisanale qui réveille l’âme des traditions oubliées. Depuis un an, Tanguy Cagnin et Harold Buis transforment des plantes et fruits locaux en spiritueux biologiques. Chaque bouteille est un concentré d’Ardèche : pastis aux plantes de garrigue, gin à la myrtille sauvage, et autres créations inspirées des trésors des Cévennes ardéchoises.

« On a voulu une distillerie qui soit en accord avec le paysage qui nous entoure. », explique Harold, en nous accueillant à la distillerie. Niché dans une ancienne grange réaménagée, le lieu respire le terroir et la simplicité. « Avec Tanguy, on s’est trouvés sur des valeurs communes et cette envie de faire quelque chose de différent. » Ensemble, ils ont donné vie à La FRAP au printemps 2023, un projet qui marie l’expérience d’Harold en arboriculture et le lien de Tanguy avec le milieu agricole : « Le grand-père de Tanguy était bouilleur de cru, il avait ça dans le sang, explique Harold en souriant, aujourd’hui, on perpétue un peu cet héritage, mais à notre manière, avec notre alambic. » Cet alambic en cuivre, dit « à repasse », d’où sortent les elixirs, est chauffé au feu de bois : « Le bois, on va le chercher nous-mêmes dans les parcelles forestières que l’on entretient. C’est une démarche d’autonomie qui nous permet de maîtriser notre impact énergétique, tout en étant en phase avec la nature ardéchoise. », précise-t-il.

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La FRAP propose des spiritueux qui racontent le terroir ardéchois : un pastis aux plantes de garrigue, un gin ardéchois à la myrtille et au genièvre ou encore « La Chèvre Verte », une réinterprétation audacieuse de l’absinthe, parfumée de verveine et de menthe sauvages. « On travaille avec ce que la terre nous offre : les plantes locales, les fruits du coin, les vins des viticulteurs ardéchois. C’était évident pour nous de privilégier le circuit court. », détaille Harold, qui, dans son métier d’arboriculteur, a pu observer le gâchis des fruits non conformes aux standards de marché. Ici, tout est pensé pour respecter les ressources naturelles : L’eau de source de Planzolles sert à régler les spiritueux, tandis qu’une citerne voûtée en pierre sèche collecte l’eau de pluie pour refroidir les alambics. Alors que nous quittons la distillerie, les mots d’Harold résonnent avec une simplicité éloquente : « C’est ça, l’alchimie que l’on voulait créer, quelque chose qui soit bien plus qu’une simple bouteille de spiritueux. » Des boissons à consommer avec modération bien sûr !

La perle de l’Ardèche à Sainte Marguerite Lafigère


Dans la vallée du Chassezac, Patrice Nordmann, castanéiculteur et gardien du Bois Tordu, redonne vie à une vieille châtaigneraie. Dans ce lieu unique où châtaigniers greffés et sauvages se mêlent, il invite les visiteurs à partager l’expérience d’une récolte de châtaignes biologiques, tout en découvrant les paysages de cette terre cévenole.

En arrivant au Bois Tordu, on se sent aussitôt happé par le lieu. Ici, chaque arbre, chaque terrasse de pierre sèche, raconte l’histoire d’un lien indéfectible entre la terre et ses habitants. Patrice nous accueille dans son « coin de paradis » reconquis par un travail acharné et une passion pour la nature. Sous ses mains et celles de sa compagne, la châtaigneraie, laissée à l’abandon durant de nombreuses années, s’est transformée en un écrin vivant où les châtaigniers retrouvent leur noblesse d’antan. « Ici, on ne fait pas juste pousser des arbres, on redonne la juste place au vivant. », raconte Patrice.

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Depuis 2019, il redonne aussi vie aux faisses, ces terrasses cévenoles façonnées par les anciens, sur lesquelles les arbres s’épanouissent. Car le châtaignier, autrefois nommé l’arbre à pain, aime les pentes des Cévennes ardéchoises. Dans ses pratiques agricoles, Patrice s’inspire des enseignements de la permaculture et de l’agroécologie pour bâtir un écosystème résilient. « On a la chance ici de cultiver des variétés anciennes, adaptées depuis des siècles à ce sol et ce climat, c’est un patrimoine unique que nous avons le devoir de protéger. », nous partage le castanéiculteur en caressant l’écorce rugueuse d’un châtaignier. Sa production, labellisée Châtaigne d’Ardèche AOP, est un gage de qualité, chaque fruit étant trié et soigneusement sélectionné : « Cette appellation, c’est la reconnaissance de notre terroir et de notre savoir-faire. » Sardonne, Aguyane, Pourette, ou encore Sativa… L’Ardèche dénombre 65 variétés traditionnelles de châtaigne.

De la farine de châtaigne jusqu’à des produits ménagers écologiques : au Bois Tordu, tous ces dérivés de la châtaigne sont élaborés sur place. « La châtaigne, c’est le fruit du partage. Elle a servi nos ancêtres durant des siècles, pour de la teinture mais aussi comme produit de troc. C’est une richesse que l’on se doit de respecter et de transmettre. », conclut-il avec émotion face à sa châtaigneraie.

→ Jour 3 – Les Cévennes gardoises

Tout est bon dans le Baron à Les Salles du Gardon


Dans les collines des Salles-du-Gardon, Audrey Burban et Nicolas Villain élèvent en plein air leurs « Barons des Cévennes », une cinquantaine de porcs Duroc à la robe rousse, qui s’épanouissent sur des terres ombragées de chênes et de châtaigniers. De cet élevage naissent des produits élaborés sur place, au bon goût du terroir cévenol.

En cette matinée ensoleillée, Audrey Burban et Nicolas Villain nous accueillent avec la simplicité et la fierté de ceux qui ont choisi de construire leur vie autrement. Après des années dans la grande distribution et la frénésie des villes, le couple s’est installé ici, sur ces terres cévenoles, à la fois âpres et généreuses, pour y réaliser un projet porteur de sens : élever des porcs en plein air, avec respect et patience, loin de la maltraitance animale et de la standardisation de l’industrie alimentaire.

Le « Baron des Cévennes », cette race de porc pure Duroc, incarne à lui seul l’identité du Mas del Fray. Les porcs y vivent en semi-liberté, se déplaçant dans les chênaies et châtaigneraies sur cinq hectares de collines. Ici, le rythme n’est pas dicté par le rendement, mais par les cycles naturels et le bien-être des animaux. « On a pensé chaque détail pour leur confort. », explique Audrey en nous montrant les parcs et les abris, tandis que Nicolas évoque la patience qu’il faut pour élever leurs cochons. « On ne les engraisse pas en six mois comme c’est le cas pour les cochons industriels. Ici, ils grandissent au minimum douze mois, et parfois jusqu’à dix-huit mois. » Leur alimentation est elle aussi soignée, exclusivement à base de céréales locales sans OGM, complétée par les châtaignes des Cévennes.

Pour Audrey et Nicolas, élever des porcs dans les Cévennes est plus qu’un métier, c’est une forme de réconciliation avec la nature, une vie où l’animal est respecté jusqu’à l’étape difficile mais essentielle de l’abattage : « C’est une étape crève-cœur, nous confie Audrey, on accompagne la vie et on accompagne aussi la mort. C’est ce qui rend ce métier tellement différent. » La race du Baron des Cévennes, validée par des chefs étoilés pour sa qualité gustative, se distingue par une saveur authentique qui rappelle le cochon familial d’antan.

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Pour garder la main sur un maximum d’étape, le couple réalise lui-même la transformation de la viande : saucissons, coppa, chorizo… « La plupart des ingrédients de nos recettes sont en agriculture biologique. Le sel n’est pas raffiné, il n’y a pas de conservateurs, pas de colorants. », précise Nicolas. Quand ils parlent de leur travail, une émotion sincère passe, un attachement palpable aux animaux, à la terre et aux produits. En quittant le Mas del Fray, ce ne sont pas seulement des éleveurs que nous avons rencontrés, mais des artisans du vivant, passionnés et dévoués, qui ont trouvé en Cévennes le cadre parfait pour donner vie à leur rêve.

Rencontre aux petits oignons à Taleyrac

Dans la vallée de Taleyrac, Gaël Martin perpétue un savoir-faire familial et ancestral : la culture de l’oignon doux des Cévennes AOP. Sur les terrasses façonnées par des générations de cévenols, il cultive cet oignon emblématique, apprécié pour sa douceur et son croquant.

En ce dernier après-midi dans les Cévennes, Les rayons du soleil semblent caresser les parcelles de production en terrasses, soutenues par des murs en pierres sèches. Ces ouvrages, patiemment érigés par des générations de cultivateurs, soutiennent un trésor unique : l’oignon doux des Cévennes. « Cet oignon, c’est l’âme de notre terroir. », nous confie Gaël, producteur et président de l’AOP Oignon doux des Cévennes. Chacune de ces parcelles, d’une surface modeste, épouse les courbes du relief cévenol, défiant le climat méditerranéen et ses caprices. « Ces terrasses ne sont pas qu’un décor. Elles protègent les sols de l’érosion et permettent à l’oignon de s’épanouir dans des conditions idéales, entre les épisodes cévenols et les étés arides. », explique Gaël. Cultivé entre 300 et 600 mètres d’altitude, l’oignon doux puise sa force dans des sols légers et filtrants, riches en histoire et en minéraux.

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Gaël nous amène ensuite à l’atelier de tri où sa mère, son père et son frère s’attèlent au travail minutieux du pelage des oignons. En observant de près ces bulbes, on ne peut qu’être frappé par leur brillance, avec leur robe claire et nacrée : « Ce n’est pas qu’une question d’esthétique, c’est aussi un gage de qualité. », précise Gaël. Le producteur nous invite alors à goûter un morceau d’oignon frais, agrémenté de pâté. Juteux et croquant, il dévoile une douceur surprenante, loin de l’amertume ou du piquant habituel des oignons : « La douceur, c’est sa signature. », souligne Gaël. Cru, il offre une fraîcheur éclatante, parfaite pour sublimer une simple salade. Cuit, il se métamorphose, devenant fondant et délicatement caramélisé. Cet équilibre rare entre sucrosité et finesse fait de l’oignon doux des Cévennes un produit qui incarne l’identité d’un paysage et d’un savoir-faire. Pour Gaël et sa famille, chaque bulbe récolté est un hommage à ce patrimoine vivant : « Quand on travaille ici, on perpétue une tradition. On fait vivre la montagne. »

Durant trois jours, les cévenols nous ont dévoilé leurs histoires, leurs paysages et leurs savoir-faire. Chaque rencontre a révélé la profondeur et l’identité forte des Cévennes. Notre vadrouille nous laissera des souvenirs chaleureux et une envie d’en découvrir davantage. Une promesse de retour pour de nouveaux moments d’émerveillement, grandeur nature.

    En collaboration avec

    Les Cévennes

    Terre de nature préservée et d’histoire, les Cévennes s’étendent sur la Lozère, le Gard et l’Ardèche. Elles vous invitent à explorer le territoire des Causses et des Cévennes, inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l’humanité, qui représente un témoignage et un exemple exceptionnel de la culture agropastorale méditerranéenne et des savoir-faire qui lui sont associés. Vivez une expérience de tourisme responsable et positif en parfaite harmonie avec la nature. À pied, à vélo ou en train, partez à la rencontre des cévenols, découvrez des paysages grandioses et des villages pittoresques, goûtez à des saveurs authentiques… Émerveillez-vous de la diversité exceptionnelle des Cévennes et laissez-vous transformer par cette destination ressourçante et inspirante !

    https://www.tourisme-occitanie.com/destinations/destinations-phares/les-cevennes/

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