Du Charolais-Brionnais au Creusot-Montceau, La Bourgogne invite à la découverte d’un patrimoine riche, façonné par la terre et le travail des Hommes. L’art céramique, la tradition de l’élevage, ou encore l’héritage minier ont forgé l’identité des lieux. Une terre d’abondance aux multiples facettes, terrain de jeu idéal pour les visiteurs avides de belles rencontres.
Oubliez les vignobles, La Bourgogne regorge de nombreux autres trésors ! De Saint-Christophe-en-Brionnais en remontant vers le nord jusqu’à Montceau-les-Mines, la route dévoile des paysages bucoliques. Ici, pas de grands crus, mais une terre imprégnée d’histoire qui a marqué des générations de bourguignons. Nous sommes allés à la rencontre de celles et ceux qui œuvrent avec passion pour préserver ce patrimoine vivant.
→ Jour 1 – De Saint-Christophe-en-Brionnais à Paray-le-Monial
L’incontournable marché aux bovins à Saint-Christophe-en-Brionnais
Ce matin du mois d’août, les premières lueurs du soleil illuminent le village de Saint-Christophe-en-Brionnais, en Sud Bourgogne. Chaque mercredi, tel un rituel, la commune s’éveille au rythme de son célèbre marché aux bovins, l’un des plus anciens de France. Ce rendez-vous hebdomadaire réunit éleveurs et maquignons pour des échanges animés, notamment autour du légendaire « Mur d’Argent ». Entre le marché traditionnel de gré à gré et celui au cadran, les visiteurs plongent dans le cœur des tractations, observant de près les ventes et le défilé des bovins aux croupes généreuses.
« Ce marché, c’est l’âme du Brionnais. », nous confie Gérard Pegué, président de l’antenne touristique locale, lors de notre arrivée. Institué par Charles VIII en 1488, le marché de Saint-Christophe-en-Brionnais fait battre le cœur de cette région rurale. Depuis cinq siècles, il est un lieu de rencontre incontournable pour les éleveurs, acheteurs, et négociants. À 7h30, tous les regards se tournent vers le marché au cadran, où les jeunes bovins, les broutards et les animaux dits « maigres » sont vendus aux enchères. Dans une salle moderne, en forme d’hémicycle, les acheteurs scrutent attentivement les lots projetés sur un grand écran, tandis que sur la piste, les bêtes numérotées défilent sous l’œil attentif des maquignons. « Ici, tout se joue en quelques secondes, explique Gérard en pointant du doigt le cadran électronique, la pression monte rapidement, et les enchères peuvent s’envoler, surtout pour les plus beaux spécimens. » Ce système, instauré en 2009 à Saint-Christophe, permet une transparence totale des transactions, avec des prix affichés en direct et annoncés au micro par Jeremy, le « crieur » du marché.
À partir de midi, sous la grande halle historique de Saint-Christophe, surnommée le « Mur d’Argent », le marché traditionnel de gré à gré prend le relais du marché au cadran. Place aux transactions à l’ancienne : éleveurs et acheteurs négocient directement pour les animaux dits « gras », destinés à la boucherie. « Ce marché, c’est une histoire de confiance. », affirme Jean-Claude, un éleveur habitué des lieux. « Ici, pas de cadran, tout se fait à l’oral, dans une poignée de main franche, ajoute Gérard, il y a encore quelques années, des liasses de billets étaient glissées sous une pierre du mur. » Ce jour-là, nous assistons à des négociations animées où éclats de voix et éclats de rire s’entremêlent.
Gérard, qui connaît toutes les arcanes de cet événement hebdomadaire, nous rappelle que le marché n’a cessé d’évoluer pour s’adapter aux nouvelles réalités économiques tout en conservant son essence : « C’est ce mélange de modernité et de tradition qui fait la force de Saint-Christophe. On respecte le passé, mais on avance avec notre temps. » Malgré ces changements, l’atmosphère reste la même : une ambiance conviviale, presque hors du temps, où l’on parle aussi bien des prix du bétail que des nouvelles du village autour d’une entrecôte charolaise. Ainsi, le marché de Saint-Christophe-en-Brionnais continue de rayonner, bien au-delà des frontières bourguignonnes. « Ici, chaque mercredi, c’est un peu de l’histoire qui se perpétue. », conclut Gérard. Et c’est à souligner : tous les visiteurs ont la possibilité d’assister aux ventes et de découvrir les coulisses de cet événement emblématique !
De l’industrie céramique à l’art de la mosaïque à Paray-le-Monial
Nous remontons vers le nord en direction de la « vallée de la céramique », le long du canal du Centre. À Paray-le-Monial, l’histoire et l’industrie céramique forment un patrimoine unique, célébré tant au niveau national qu’international. Si cette cité est avant tout connue pour sa basilique du Sacré-Cœur, chef-d’œuvre de l’art roman et cœur spirituel de la ville, elle a également su se distinguer par un savoir-faire industriel hors du commun. Labellisée « Cité internationale de la mosaïque » en 2018, Paray-le-Monial doit notamment ce prestigieux titre à un homme : Paul Charnoz, pionnier de la mosaïque industrielle et fondateur de la grande fabrique de carrelages en grès cérame qui a marqué le visage de la ville pendant près de 130 ans.
L’histoire commence en 1877 lorsque Paul Charnoz, jeune ingénieur chimiste passionné de céramique, choisit Paray-le-Monial pour y établir son usine. Son ambition ? Développer la production de carrelages en grès cérame fin, avec une technique innovante qui consistait à dessiner les motifs directement dans la masse, par incrustation. Ce procédé allait révolutionner l’industrie du carrelage. « Paul Charnoz n’était pas seulement un ingénieur brillant, c’était aussi un artiste et un visionnaire. », souligne Jean-Jacques Revy, président de l’association du musée d’Art et d’Insdustrie Paul Charnoz, lors de notre visite du musée. L’implantation de l’usine à Paray-le-Monial résultait d’une décision stratégique. Sa situation, à proximité de la voie ferrée et du canal du Centre, offrait des avantages logistiques pour l’approvisionnement en matières premières comme l’argile et le charbon.
En 1889, Paul Charnoz décroche la médaille d’or lors de l’Exposition Universelle de Paris pour une fresque monumentale en mosaïque, réalisée grâce à son procédé d’incrustation. Malgré ce succès, l’industriel est confronté à des difficultés économiques qui l’oblige à déposer le bilan. Toutefois, son talent et sa réputation sont tels que la Société Anonyme des Carrelages Céramiques de Paray-le-Monial, qui rachète l’usine en 1891, le maintient à la direction jusqu’en 1901. Cela permettra à Charnoz de présenter une nouvelle œuvre grandiose à l’Exposition Universelle de Paris en 1900 : une rosace de 120 m² d’une impressionnante beauté et technicité : « Cette rosace est l’apogée du travail de Paul Charnoz, explique Jean-Jacques, c’est une œuvre magistrale qui incarne le savoir-faire industriel et artistique de Paray-le-Monial. »
Le musée Paul Charnoz, installé dans l’ancienne conciergerie de la manufacture, retrace de façon détaillée cette épopée industrielle : « Nous avons à cœur de préserver la mémoire de cette industrie qui a marqué la ville pendant plus d’un siècle. », affirme Jean-Jacques. Les visiteurs y découvrent les différentes étapes de la fabrication des carreaux, ainsi que les outillages d’époque, dont une impressionnante collection de 629 modèles cloisonnés en laiton, classée aux Monuments Historiques. Les œuvres phares du musée sont bien sûr la fresque primée de 1889 et la grande rosace de 1900, restaurée et ramenée à Paray-le-Monial : « Elle fut utilisée comme une piste de danse dans un restaurant marseillais jusqu’en 1995, raconte Jean-Jacques Revy, la voir revenir à quelques mètres de l’endroit où elle a été créée a une dimension symbolique très émouvante. », ajoute-t-il.
Si le musée Paul-Charnoz rend hommage à une époque révolue, l’art de la mosaïque continue de vivre à Paray-le-Monial grâce à des artistes contemporains comme Élisabeth Ragon. Installée dans la ville depuis 2015 après plus de vingt ans passés en Italie, Elisabeth s’inscrit dans la continuité de cet héritage, tout en y apportant une touche de modernité. Diplômée en arts appliqués et fascinée par les matériaux, elle réalise des œuvres où elle intègre parfois la peinture pour donner à ses créations une liberté nouvelle : « Je vois la mosaïque comme un moyen d’expression. C’est le plaisir de fragmenter la matière pour la recomposer et la sublimer. », explique-t-elle tout en découpant des tesselles. Sa démarche artistique, inspirée par la nature et l’espace, met en avant une recherche constante d’équilibre entre les couleurs et les matériaux. Pour rompre la solitude de l’atelier, l’artiste partage également sa passion auprès d’enfants et d’adultes lors de stages qu’elle organise tout au long de l’année : « J’aime être dans l’échange. Paray-le-Monial est une ville unique où l’art mosaïque s’exprime dans toute sa diversité. »
→ Jour 2 – De Digoin à Montceau-les-Mines
Le mariage du savoir-faire traditionnel et du design à Digoin
Non loin de Paray-le-Monial, sur les rives du canal du Centre, la Manufacture de Digoin perpétue un savoir-faire séculaire. Fondée en 1875, la Manufacture de Digoin s’est distinguée par ses créations en grès d’objets du quotidien. Après une longue période d’inactivité et de redressement, la manufacture a retrouvé des couleurs sous la direction de Thierry Benhaïm et son associée, en étroite collaboration avec les équipes. Ensemble, ils partagent une ambition commune : faire rayonner l’art du bien vivre à la française à travers le monde.
« Nous sommes fiers d’écrire une nouvelle page de l’histoire de cette manufacture qui est un monument pour la ville de Digoin. », explique Thierry à notre arrivée. Nous ressentons effectivement le poids et la place qu’occupe la manufacture qui s’étend sur un vaste site de plus de deux hectares et 18 000 m² de bâtiments. Autrefois appelée « Grès et Poteries », elle fut l’une des plus importantes de la région, employant jusqu’à 600 personnes durant son âge d’or. À l’époque, le grès était un matériau utilisé pour fabriquer de nombreux objets du quotidien, aussi bien pour les professionnels que pour les particuliers : terrines, jarres, vinaigriers ou encore pots à graisse. « Le grès se distingue par sa faible porosité, ce qui en fait un matériau idéal pour la conservation des aliments. », détaille Thierry. Mais à partir des années 1960-1970, la montée en puissance du plastique et du verre relègue ce savoir-faire au second plan, plongeant la manufacture de Digoin dans un lent déclin. C’était sans compter sur des femmes et des hommes qui ont vu en elle un trésor à sauvegarder.
Relancée une première fois en 2014, la manufacture connaît un nouveau souffle début 2024, sous l’impulsion de Thierry et de son associée, animés par une volonté partagée de redonner du sens à cette entreprise emblématique. Le duo se souvient de la première fois où il a parcouru les ateliers, découvrant des milliers de moules datant pour certains des années 1920 : « Chaque jour a son lot de trésors. Nous n’avons rien inventé, tout était là, sous nos yeux. », partage Thierry, encore émerveillé. L’un de leurs premiers chantiers a d’ailleurs été de répertorier ces moules : « C’est un devoir de mémoire, une façon de préserver des techniques qui auraient pu disparaître. », justifie Thierry. Ces moules, oubliés avec le temps, ont été restaurés et permettent aujourd’hui de reproduire des pièces d’exception.
Dans les ateliers de Digoin, la magie opère tout au long de la chaîne de production : « Chaque objet que nous façonnons est une histoire en soi, un lien entre passé et présent. Surtout, cela ne serait pas possible sans l’engagement de nos collaborateurs. », justifie Thierry. De la pâte de grès à l’émaillage, en passant par le coulage, chaque pièce est réalisée à la main par des artisans qui y insufflent leur savoir-faire, transmis de génération en génération : « Ce qui paraît simple à l’œil est le fruit de plusieurs années d’apprentissage et de maîtrise. », abonde Aaron à l’atelier coulage.
En plus de rééditer des modèles centenaires, la manufacture propose des collections modernisées, aux couleurs et designs renouvelés, qui séduisent une clientèle en quête d’authenticité et d’élégance : « Notre objectif est de consolider notre position sur le haut de gamme, faire rayonner l’art du bien vivre à la française à travers le monde. », précise Thierry. La collection de la manufacture, composée de vinaigriers, de pichets, de pots à moutarde ou encore de terrines, est une ode aux ustensiles du quotidien. Des objets fonctionnels qui traversent les époques tout en étant porteurs de sens et d’histoire. Des objets à la fois beaux et utiles qui, loin de s’éteindre, trouvent désormais une nouvelle jeunesse.
Honorer l’histoire minière à Blanzy
Nous remontons le canal du Centre jusqu’à Blanzy. Installé sur l’ancien puits Saint-Claude, le Musée de la Mine est un témoignage de l’histoire minière et industrielle du bassin de Blanzy-Montceau. Sur place, l’imposant chevalement métallique de 20 mètres de hauteur, dernier représentant de cette tradition minière, domine le paysage.
« Mon grand-père était mineur, mon père était mineur… Je n’avais pas d’autres choix que de faire perdurer cette histoire familiale ! » C’est par ces mots que Bernard Dupré, ancien mineur des houillères de Blanzy nous accueille. Les machines, le bruit, les gestes, l’odeur… Le Musée de la Mine nous plonge dans le quotidien des mineurs et de leur lutte incessante contre les dangers des profondeurs. Comme les neuf autres houillères en France, le bassin minier de Blanzy fut, durant 150 ans, le théâtre de l’extraction du charbon, rapidement surnommé le « pain de l’industrie ».
Le charbon a été la force motrice de la révolution industrielle. Mais derrière cette énergie vitale se cachait un environnement de travail impitoyable. Chaque jour, les mineurs descendaient parfois à plus de 500 mètres de profondeur, dans des conditions extrêmement difficiles. Ils abattaient le charbon à la main, armés de simples pics, puis le chargeaient dans des berlines avant de le remonter à la surface pour être trié, criblé et préparé à l’exportation. « La mine, c’était une école de vie, on apprenait la solidarité, mais aussi la vigilance, car le moindre relâchement pouvait coûter cher, raconte Bernard, le bruit, la chaleur et les poussières faisaient partie du quotidien, et le grisou, ce gaz meurtrier, était toujours une menace. »
Les mineurs travaillaient en binôme, et le lien entre ces hommes était essentiel à leur survie : « Mon binôme, c’était plus qu’un collègue, c’était mon frère de travail. On veillait l’un sur l’autre en permanence. », se souvient Bernard. Nombreux sont ceux qui ont vu leurs camarades mourir sous leurs yeux, emportés par des accidents tragiques comme celui du puits Cinq-Sous qui fit 89 victimes en 1867. Ces drames, bien que dévastateurs, soudaient davantage les mineurs, qui se battaient non seulement pour leur survie, mais aussi pour l’honneur et la mémoire de ceux qui étaient tombés.
Tout au long de la visite, Bernard nous partagera ses souvenirs avec émotion, se faisant l’écho de la fierté et de la résilience de ceux qui ont marqué cette époque. Le musée s’efforce d’entretenir cet héritage, avec l’aide de l’association « La Mine et les Hommes », qui a restauré et rééquipé le puits Saint-Claude. Le site permet de montrer au public comment s’organisait l’extraction minière mais aussi l’évolution des techniques, qui se sont modernisées au fil du temps avec l’arrivée de machines dont le fameux plateau-rabot. « Même avec les machines, le travail restait dur. », tient à souligner Bernard.
Le déclin de l’exploitation du charbon à Blanzy s’amorça dans les années 1960, et le dernier puits, le Puits Darcy, ferma en 1992, marquant la fin d’une époque. Aujourd’hui, le Musée de la Mine de Blanzy perpétue le souvenir de ces hommes qui, parfois au prix de leur vie, ont extrait cette précieuse ressource de la terre. Bernard conclut la visite avec une pointe de nostalgie : « On a tout donné à la mine. Mais c’était notre vie, et ça, on ne l’oubliera jamais. »
Une odeur de vieille mécanique à Montceau-les-Mines
À Montceau-les-Mines, l’usine Aillot, fondée au 19e siècle, a jadis été un haut lieu de fabrication de rouleaux compresseurs destinés aux travaux publics. Aujourd’hui, ce site emblématique abrite une impressionnante collection de véhicules anciens. Derrière les portes d’un vaste hangar, un ensemble de camions, de bus, d’épiceries d’époque et de moteurs, offre aux visiteurs une atmosphère unique, où l’odeur de vieilles mécaniques rappelle des souvenirs d’autrefois.
C’est sous la houlette de François Gambut, président de l’association Camion Ancien, que le lieu a progressivement été restauré et aménagé pour accueillir ces géants de la route, dont certains sont devenus des légendes du cinéma. « C’est une passion que je nourris depuis mon enfance. », confie François, les yeux pétillants lorsqu’il évoque le Berliet GBC 8 6×6 Sahara, un des joyaux de la collection. Ce camion emblématique, immortalisé par Lino Ventura dans le film Cent mille dollars au soleil, est l’une des pièces maîtresses de l’exposition.
La collection, qui s’étend de 1941 à 1986, compte une cinquantaine de véhicules, dont certains acquis pour des sommes dérisoires. « Ce n’est pas le camion qui coûte le plus cher, c’est le rapatriement. », précise François. Parmi les modèles exposés, on retrouve des trésors rares comme un Berliet orange à gazogène de 1941, produit à seulement 220 exemplaires, ou encore un impressionnant camion Mack de 1956, autrefois utilisé par un exploitant de la mine locale. François et sa compagne Céline, formés à l’art contemporain, se sont attelés à la configuration des lieux, transformant l’ancienne usine en un espace de convivialité et de découverte. « Ce projet, c’est un défi, mais nous avons la chance de pouvoir compter sur l’aide de passionnés et de bénévoles. », explique François, en soulignant l’importance du travail collectif.
La galerie ne se contente pas d’exposer des camions ; elle propose aussi des événements culturels variés, des conférences aux concerts, offrant ainsi un véritable voyage dans le temps. Et pour les visiteurs, l’occasion est unique de se mettre au volant de ces camions mythiques ou de monter à bord d’un authentique bus Greyhound. Derrière le comptoir de la buvette Baraillot, François aime à rappeler que « chaque véhicule porte en lui une histoire, une anecdote, une aventure humaine à partager. »
De Saint-Christophe-en-Brionnais à Montceau-les-Mines, c’est une Bourgogne fière de ses racines qui s’est dévoilée sous nos yeux. Ici, la préservation du patrimoine est une véritable mission, portée par des femmes et des hommes passionnés. En sillonnant ces routes, on redécouvre l’essence même de la convivialité et de l’authenticité, des valeurs solidement ancrées en terre bourguignonne.
Pour en savoir plus
Où manger ?
- La Bourbince : à Paray-le-Monial, un restaurant au sein de l’hôtel Le Prieuré aux abords de la rivière la Bourbince. Une carte variée et de saison proposant les meilleurs produits du terroir.
- Le Bis : à Montceau-les-Mines, un restaurant dans un cadre moderne proposant une cuisine de saison.
Où dormir ?
- Le Prieuré : à Paray-le-Monial, un hôtel-restaurant au coeur de la cité médiévale de Paray-le-Monial. L’hôtel récemment rénové dispose de chambres propres et agréables avec vue sur un très beau jardin et la rivière la Bourbince.
- La Maison de Floréline : à Ciry le Noble, une chambre d’hôtes au bord du canal du Centre, aménagée au sein d’une belle demeure bourgeoise datant de 1830. Le lieu est labellisé Accueil Vélo.
Comment venir ?
- En train : La Bourgogne est largement desservie par le réseau ferroviaire avec les gare TGV de Dijon, Mâcon ou Chalon-sur-Saône et les nombreuses gares TER dont celle de Paray-le-Monial. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site SNCF et/ou Mobigo.
- À vélo : La Bourgogne dispose de nombreuses voies vertes et itinéraires cyclables (Tour de la Bourgogne à vélo, Voie Verte Canal du Centre etc.). Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site France Vélo Tourisme.
- En voiture : La Bourgogne se situent à 100 km de Lyon et 300 km de Paris. Plusieurs autoroutes et routes nationales vous permettront de rejoindre la destination rapidement (A6, N70, N79). Pour planifier vos itinéraires, rendez-vous sur ViaMichelin ou Mappy.